La vie est facile, ne t'inquiète pas

Martin-Lugand Agnès. Dans le premier roman, Diane, propriétaire d'un café littéraire éponyme « Les gens heureux lisent et boivent du café », a perdu son mari et sa fille dans un accident de voiture. le deuil des deux personnes qu'elle aime le plus au monde lui semble évidemment impossible à faire, et en souvenir de son mari qui ne jurait que par la Guinness, elle part quelques temps en Irlande où elle habite chez une famille à qui elle s'attache, et qui l'aide à se reconstruire. Dans cette famille, un homme, Edward, lui a visiblement réappris ce que c'était que l'amour… Mais leur histoire n'a pu aboutir, Diane n'était probablement pas encore prête.

Second volet de l'histoire, « La vie est facile » démarre à Paris, quelques mois après le retour de Diane. Elle reprend en main le café que son meilleur ami avait tenu en son absence. Ce dernier la force à sortir de nouveau, à rencontrer des gens, tant et si bien que Diane finit par se faire à l'idée de refaire sa vie : Elle rencontre Olivier, l'homme le plus gentil qui soit, le premier qui parvient à l'apprivoiser et accepte le fait qu'elle ne veuille plus d'enfant… Mais voilà, lors d'une expo, elle revoit Edward : Froid et distant, ayant beaucoup souffert de la disparition de Diane mais ayant visiblement refait sa vie, il l'informe simplement de la maladie de sa tante qui a hébergé Diane. Diane décide alors de rendre une dernière visite à la mourante, en Irlande . 

Bof